COMPÉTITION – Cinq ans après “Grave”, la Française Julia Ducournau recrée un univers mutant ultraviolent et glaçant. Et divise nos critiques. En salles le 14 juillet.
Pour
Elle n’aime pas les humains, les tue mécaniquement telle une Terminator blonde et tatouée, et ne frissonne que contre, tout contre, la carrosserie froide des voitures. Il se consume de chagrin tant il a besoin de donner son amour à un prolongement de lui-même. Rencontre entre deux désaxés qui pourrait bien engendrer une nouvelle humanité…
Il y a cinq ans, Julia Ducournau s’imposait, d’emblée, avec Grave, son premier long métrage, où elle malaxait tranquillement les attendus du genre horrifique. Titane, lui, les réduit en cendres, dépassant toutes les bornes, pour une expérience où les codes et stéréotypes explosent les uns contre les autres.
Une petite fille très spéciale survit à un accident de la route grâce à un ajout métallique dans son organisme. Devenue jeune femme (Agathe Rousselle), elle danse dans un salon d’automobiles. Mais un jour, après une tuerie (scène virtuose et comique), elle se métamorphose pour échapper à la police, et se réfugie dans une caserne de pompiers où un homme seul a désespérément besoin de la prendre pour quelqu’un d’autre…
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Divertissement
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